Apprendre le chinois et ses quelques 50000 caractères (!) peut paraître compliqué. Toutefois, le chinois d’aujourd’hui n’utilise que 3.000 à 5.000 sinogrammes. Pour en simplifier l’apprentissage, ShaoLan Hsueh a créé des sinogrammes évocateurs, dont l’apparence renseigne sur leur sens. Ils sont regroupés dans un livre « Le chinois, c’est pas sorcier » qui permet de découvrir cette écriture de façon intuitive.
Apprendre le chinois de façon ludique avec des caractères qui nous parlent
Depuis les débuts de l’écriture chinoise, environ 50.000 caractères, également appelés sinogrammes, ont été utilisés. Si certains appartiennent au passé, il en reste néanmoins 3.000 à 5.000 dans le chinois d’aujourd’hui et 2.000 à 3.000 pour le japonais.
A côté, notre alphabet latin et ses 26 lettres paraît bien moins complexe. Mais une méthode ludique et accessible au plus grand nombre, permet aujourd’hui de découvrir les sinogrammes de base du chinois, facilement par déduction logique et dans un esprit ludique.
C’est pour en facilité l’accès, que ShaoLan Hsueh, née à Taipei et vivant actuellement à Londres, à eu l’idée de mettre en dessin les sinogrammes. Au départ, elle souhaitait aider ses deux enfants nés en Angleterre à lire le Chinois. Face à l’enthousiasme rencontré, elle a lancé la méthode dont elle est l’inventeur : « Chineasy ». Son objectif est d’aider le plus grand nombre à comprendre la Chine, la culture Chinoise et cette langue réputée difficile.
Au delà de cet engagement pour rendre accessible sa langue maternelle, Chineasy est également un projet artistique. L’auteur a en effet grandit au sein d’une famille d’artistes, étant la fille d’un céramiste et d’une calligraphe. C’est donc pour elle un retour aux sources et un rappel de son voyage entre l’Asie et l’Occident.
Pour ceux qui souhaite s’initier ou initier leurs enfants, la version française de Chineasy, c’est ici :
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